Les grandes oreilles de la France
Mise en place du projet de Sarkozy "création d’une direction unifiée pour le renseignement intérieur en France afin de mieux combattre le terrorisme" selon ses mots.
Amélioration de la lutte contre le terrorisme pour certains, fichage de la population pour d'autres, l'emménagement dans les mêmes locaux, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), de la direction centrale des renseignements généraux (DCRG) et de la direction de la surveillance du territoire (DST), préfigure "une fusion des services de renseignement Historique : pour une fois, le mot n'est pas galvaudé". Les enquêteurs de la sous-direction antiterroriste (SDAT) les rejoindrons mi-juin.
Voir suite de l'article du Monde DST et RG, nouveaux voisins de palier ou sa copie
information apportée par sarkofrance
Sur le figaro: "L’antiterrorisme espionne aussi mails et textos" et sur le Monde "Mise en place d’une super-cellule d’écoute antiterroriste en France" copié ici: http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=31494&mode=threaded
Sur le figaro: RG, DST et PJ antiterroriste doivent fusionner
Sur intelligence on line : RG et DST : une réorganisation sous influence politique
"Nominations, rapprochement opérationnel, affaire Clearstream : comment Nicolas Sarkozy tente de reprendre en main la DST et les RG. Mais aussi la sécurité des systèmes d'information, le débat autour du contrôle parlementaire et la biographie des principaux acteurs du renseignement."
Opinions:
Voir sur rue89 Conseil national de sécurité et reconfiguration du ministère de l'Intérieur
Sur un blog corse La 'révolution' policière de Nicolas Sarkozy
Enfin, un article trouvé sur le site du parti politique Solidarités et progrès, très controversé d'après wikipedia. à prendre avec du recul mais peut toujours amener des éléments intéressants :
Sarkozy prépare un ministère de la « Homeland Security »(sécurité intérieure)
"Ainsi, Sarkozy s’oriente vers la mise en place d’un « exécutif unitaire » tel qu’il fut conçu par le juriste allemand Carl Schmitt dans les années trente, fort éloigné de l’esprit de la Cinquième République, où le Président fixe un cadre politique général, tout en assumant la charge particulière des affaires étrangères et de la défense nationale, mais où le Premier ministre traite les affaires courantes. Sarkozy a nommé une pléiade de conseillers à l’Elysée, en charge de faire directement valoir sa politique auprès des différents ministres : sept experts auprès du ministère de l’Economie, cinq auprès du ministère des Affaires sociales et six auprès de la Défense et de la Sécurité."